donderdag, januari 05, 2006

Wintergedichten


Kleine tussenstand


Angst essen Seelen auf (petit poème sur la mort)

C’est le néant
Ou la découverte
D’un timide faux pas
Savoir,
Hésitant vers ton corps
La mort, désirant
Je t’aime



Deuxième chanson postmoderne sur l’amour (en hommage de Bach)

Je t’ai apperçu la première
Fois dans le jardin du chateau
Tes pieds touchaient le sol
Comme font les nôtes des variations Goldberg
Interpretées par Glen Gould
Les soupirs du pianiste à travers tes pas titubants
Tes cheveux noirs, me rappelants le noir de l’enfer, avaient
L’odeur de son sexe.


Groeten uit een fractaal gedachtengoed

Manu

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